Dorothy E. Page, l'adorabe calamité MJnY4T4Dorothy E. Page, l'adorabe calamité Sj6QOrv
Morsmordre
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Dorothy E. Page, l'adorabe calamité

avatar
Invité
Mar 29 Mai - 0:44
Dorothy E. Page, l'adorabe calamité JAgHpAm

Dorothy Eugenia Page


doty pour les vrais.



Genre : damoiselle.
Âge : treize ans.
Année : troisième année.
Maison : poufsouffle.
Statut de sang : Sang-Mêlé.
Dorothy E. Page, l'adorabe calamité 1527536150-doty-2
Familier : choupette, le veracrasse. (rip vos sols propres)
Baguette : sycomore - crin de licorne - 29 cm - flexible. attention, elle pétille quand une bêtise se prépare à être faite.
Patronus : une mésange.
Epouvantard : son papa, en inferius,  incapable de reconnaître sa propre fille.
Amortentia : cherry pie & marshmallow.
Lieu de résidence : petite maison de ville, dans la périphérie de Londres. doty connait par cœur la ville et le chemin de traverse.



Physique


Taille : un petit mètre cinquante.
Corpulence : des joues rondes, mais un corps hyperactif. elle peut porter des choses lourdes.
Cheveux : brun, de type ondulé et avec extra épis toute la journée.
Yeux : brun (pour changer).
Signes distinctifs : un charmant sourire criblé de fer (ou appareil dentaire, ça marche aussi).
Style vestimentaire : fillette à maman, à moitié entre l'enfant qui met du rose pour le fun et l'adolescente qui met des jupes pour ressembler aux adultes. elle n'en parle à personne, mais elle aimerait être grande, belle et féminine, genre la fille trop populaire de l'école. mais c'est pas gagné. elle porte toujours un short sous ses jupes pour éviter que tout poudlard connaisse la couleur de ses sous-vêtements quand elle se met à bouger dans tous les sens.


Mental


Qualités : attachante - pétillante - souriante - honnête - courageuse - bienveillante -  indulgente - amicale - maligne - mature - créative (mais n'essaye pas de comprendre pourquoi elle a utilisé du ketchup à la place de la peinture rouge, tu te casserais la tête avec ses explications)
Défauts : curieuse voir fouineuse - imprudente - collante - bruyante - chiante (surtout avec les garçons qu'elle aime bien, rip si c'est toi) - niaise - cœur d'artichaut - attire les ennuis - ou les ennuis l'attire - entêtée - hyperactive

Dorothy est un concentré de bonne humeur, une boule toute mignonne à laquelle peu de personnes peuvent résister. Elle fait beaucoup de bruit et à tendance à se mêler de ce qui ne la regarde pas, mais on est sûr de ne jamais s'ennuyer avec elle ! Toutefois, derrière cette façade d'enfant un peu bêtéte, elle cache une grande maturité et compréhension du monde qui l'entoure. Elle sait que des actes terribles sont en train de se produire et que toutes les bonnes choses peuvent disparaître en un instant.

Préférences : le fun - le rose - les choses mignonnes et moches (chacun ses goûts) - l'aventure - les maisons hantées - les insectes et faire crier les filles on leur montrant par la même occasion - l'été pour les attaques de bombes à eau - l'hiver pour les batailles de boules de neige - le sucre - les beaux garçons - choupette - sa maman - son papa - mais pas son frère (en fait si mais chut) - être dehors - escalader les arbres... et les maisons, et les murs... tout quoi - les vacances - les cours de sortilèges (#rictusempra) - halloween - les robes de princesses qui brillent (mais elle a honte de l'avouer) - chanter, siffloter, meumeumer...
Antipathies : être enfermée dans une salle de classe quand il fait beau - le café - les personnes de type "je vais pas sourire comme un débile alors je fais la gueule parce que je suis trop dark" - les cours de potion (attention c'est explosif avec elle) - se coucher tôt - les règles qui interdisent d'aller quelque part, qui ne servent généralement à rien contre Doty - se faire crier dessus - pleurer - qu'on lui dise "tu ne peux pas, t'es une fille" - voir quelqu'un souffrir - l'impuissance face à quelqu'un ou une situation - les légumes verts - son appareil dentaire - les sorciers noirs


Avenir & Situation


Réputation : Doty, c'est une calamité. On sait déjà qu'il va se passer un truc débile ou qu'un machin va exploser en la voyant arriver. Elle a un talent exceptionnel pour tout casser, que ce soit volontaire ou non. Mais on ne l'en empêche plus... A force, les autres ont compris que nettoyer les toilettes, ça finissait par l'amuser (en faisant une bataille d'eau par exemple) et que nourrir les veracrasses était un véritable passe-temps puisqu'elle semble avoir une amitié particulière avec cette espèce. Alors Doty, on sait qu'elle fait des bêtises et qu'elle continuera d'en faire, mais on y peut rien. Elle s'entend mieux avec les garçons que les filles.

Projets : Elle veut devenir aurore, comme son papa. Ou chanteuse. Doty aime beaucoup chanter (en cours, dans les couloirs, dans la douche, dans son sommeil...) Et épouser un acteur connu (beau gosse si possible).

Famille  : Blair Collins - sa super maman, anciennement joueuse de quidditch (gardienne de but des Pies de Montrose) qui ne cesse de lui répéter « Pas de preuves, pas de problèmes ». Charlie Page - papa et aurore au grand cœur, qui réparait les bobos avec des bisous magiques. Décédé en 69. James Page - le petit frère de 10 ans, peste sournoise qui est la preuve vivante que Doty est l'ange de la famille. Ils s'entendent bien... Trois jours dans l'année.


Histoire


« Bon, tu comptes rester planté là jusqu'au nouvel an ? »

Dorothy Eugenia Page était à un moment culminant de sa vie. Un mouvement brusque et c'était sa réputation qui s'écroulait comme un château de carte. Elle ne pouvait perdre le peu de respect que son jeune frère avait pour elle. Alors, poussant un soupir de détresse et fermant les yeux, elle se décida enfin à lancer sa boule, qui tapa dans une autre et peut être... Peut être...

« Toute cette attente pour que tu échoues lamentablement... »

James avait toujours eu cette manie de parler comme un adulte, d'un ton lassant particulièrement irritant. C'était sa manière de se montrer plus intelligent que les autres. Saleté de surdoué. Elle rouvrit les yeux pour découvrir sa bavboule à quatre mètres d'elle, soit complètement en dehors des limites du terrain. Clairement, la partie avait duré trop longtemps et, de toute façon, Doty se faisait battre à plate couture.

« On recommence ? » Elle lui lança un regard qui signifiait exactement "Sérieusement, James ? Sérieusement ?". Il haussa les épaules. « J'aime bien gagner. »

Les enfants se devaient d'être sage, aujourd'hui. Pas de cris, pas de jeux qui énervaient trop et surtout, pas une seule douceur sucrée depuis le réveil. La vie était dur pour Dorothy et James en ce vingt-quatre décembre. Ainsi, ils s'étaient retrouvé à jouer aux bavboules, dans la morosité et l'ennui absolu. Mais Dorothy avait tout calculé : une fois son père rentré du travail et le repas servi, elle pourrait enfin se lâcher sur les cookies en bonhomme de pain d'épices dont l'odeur embaumait la maison ; et crier à plein poumons en prétextant que le sucre l'empêchait de rester sur place. C'était un plan parfait dont James avait approuvé la mise en oeuvre.

Le son distinct d'un transplanage secoua les méninges de Doty, qui courra avec joie et excitation vers les escaliers, sous le regard perplexe de son frère. Elle dévala les marches étroites boisées, dénouant au passage une guirlande accrochée à la rampe et sauta avec la grâce d'un paresseux sur la dernière marche. Les portes de la cuisine s'ouvrirent avec fracas. Blair Page, assise sur une chaise, dévisagea la fillette comme une folle. Il y eut un silence glacial. Dorothy balaya la pièce des yeux, son sourire s'effaçant en un instant. Son père n'était pas là. A sa place, deux hommes au regard fatigué, morose. Un frisson lui parcouru l'échine. La maison fut prise d'un tremblement lugubre - ou du moins, Dorothy en eu l'impression - et les couleurs vives du sapin perdirent toute leur lumière. L'odeur sucré devint étouffante. Le repas sembla mort, comme si tout les légumes qui le composait avaient pourris instantanément. C'était comme si Noël avait un goût de brûlé. Et ça, c'était pas normal.

« Dorothy ! » Elle sursauta. Une nausée lui monta à la gorge. Sa mère continua, d'une voix éteinte. « Retourne en haut... »

La fillette bomba le torse et avança vers elle, lançant des regards inquiets aux deux inconnus. Maman n'avait jamais paru aussi désespérée. C'était une femme forte, la femme de la situation. Et voilà qu'elle ressemblait à une enfant terrorisée et que Doty, si jeune, était devenue l'adulte de la maison.

« Papa, il rentre quand ? »

Un sanglot cassa le silence. La violence de ses pleurs frappa Dorothy comme un coup de poignard dans le coeur. Elle savait qu'il s'était passé quelque chose. Elle savait que ça n'allait pas lui plaire. Elle savait que rien n'allait être comme avant. Mais elle devait savoir.

« Pourquoi il n'est pas là ? »

Elle le répéta encore et encore, comme une obsession. Pourquoi personne ne parlait ? Pourquoi elle ne pouvait pas savoir ? Plus les secondes s'écoulaient, plus le silence s'épaississait et plus ses craintes devenaient réalité. C'était comme un cauchemar qui prenait vie. Comme si les couleurs disparaissaient. Comme si personne ne pouvait être heureux. C'était morbide. Dorothy paniquait, se noyant dans l'attente d'une réponse.
Des pas résonnèrent dans le couloir. James commençait à trouver le temps long. Lui aussi, il allait entrer dans la cuisine et savoir que cette année, les bonhommes en pain d'épices allaient avoir un goût de carton trop cuit. Alors Dorothy se tût. On aurait dit qu'elle était devenue une autre personne en l'entendant arriver. Elle sortit de la pièce dans le plus grand des calmes. De la cuisine, les grands l'entendirent quémander une autre partie de bouvballes à son petit frère. Puis le silence retomba alors que les bruits de pas s'éloignaient.

"L'accident qui coûta la vie d'un auror", voilà ce que titraient les journaux le lendemain de Noël. Accident, vraiment ? Dorothy n'aimait pas ce mot. Il cachait une vérité qui faisait peur à beaucoup de monde. Des assassins se cachent parmi la foule, et Charlie Page n'était qu'une des premières victimes d'une longue liste. La fillette avait assez écouté ses parents en cachette pour le savoir. Alors même si ça prenait cinq, dix ou vingt ans, Dorothy Eugenia Page s'était promis une chose, ce Noël 1969 : aucun autre enfant n'aurait à subir ça.

Elle aurait du rester un enfant un peu plus longtemps, mais le destin a décider de la faire grandir trop vite.





Dorothy E. Page, l'adorabe calamité 1527587620-doty-4


Mona Galina
Messages : 30
Professeur de Poudlard
Mona Galina
Mer 30 Mai - 11:20
Je t'aime toi :) Fais gaffe, Mona apprend ton histoire, tu vas l'avoir aussi sur le dos ^^ Elle peux pas laisser un enfant tout triste
Sinon bienvenue hihi
avatar
Invité
Mer 30 Mai - 14:03
han pandanéné
moi aussi je t'aime <3
Contenu sponsorisé