| La rose ensanglantée. | | Ευαγγελία ΤριαντάφυλλαUne rose rouge comme le sang…Genre : Féminin Âge : D’apparence, elle a 35 ans, mais elle est née au siècle dernier… Métier ou Année : Professeure d’Alchimie (et de grec moderne pour les intéressés <3) Maison ou Ancienne Maison : Elle n’a pas fait sa scolarité à Poudlard, mais elle aurait basculée entre Gryffondor et Serdaigle... Statut de sang : Sang-mêlé Familier : Un harfang des neiges nommé Aleithia (mot grec qui signifie vérité) dont elle se sépare difficilement. Baguette : Pin, crin de licorne, 32 cm, malléable. Sa mère lui a léguée sa baguette magique, sachant qu'elle aurait de la difficulté à s'en procurer une. Patronus : Un phénix. Epouvantard : Mephistos, son père. Amortentia : L’odeur métallique du sang, le parfum caractéristique de la rose et les effluves salées de la mer Égée. Lieu de résidence : Elle sera toujours grecque dans son cœur, profondément attachée à son pays, mais elle réside présentement dans le château. PhysiqueTaille : 1,71 m Corpulence : menue Cheveux : marrons, presque noirs Yeux : noisettes Signes distinctifs : ses oreilles sont légèrement pointues (elle tente de les cacher, bien entendu) et ses canines sont plus acérées que la moyenne, mais sans exagération. Sa peau n'est pas aussi blanche que celles des vampires ordinaires, mais elle est tout de même plus glaciale que celle des humains. Style vestimentaire : Ses tenues s’inspirent plus de l’époque victorienne que des années 70. C’est une femme élégante et très pudique qui ne sort jamais sans son chapeau. MentalQualités : déterminée, courageuse, vive d’esprit, curieuse, méthodique, travaillante, patiente, altruiste… Défauts : démesurément méfiante, hantée par son passé, orgueilleuse, souvent têtue (opiniâtre), travaille beaucoup trop (susceptible de faire un burn out)… Préférences : *Passionnée d'alchimie, de potions et de langues, elle valorise énormément l'éducation. *Elle ne boit que le sang des animaux (en cachette ). *Elle croit en Dieu comme sa mère et reconnaît la dimension spirituelle de l'Alchimie. Elle ne s'identifie toutefois pas à une église particulière, préférant se référer aux Saintes Écritures. Antipathies : *Elle rejette sa propre nature et n'aime pas les vampires. *Elle sait quand on lui ment et a horreur des hypocrites. Elle ne considère pas son secret comme une hypocrisie, mais plutôt comme une nécessité dans un monde où on traque les vampires. Avenir & SituationRéputation : Il y a bien entendu une aura de mystère qui l’entoure, puisqu’elle parle très peu d’elle-même. Sa beauté ne laisse pas indifférent, mais elle ne cherche pas à en prendre avantage. Elle a la fibre du leadership et aime être impliquée dans l’école. Inspirée par Slughorn et son club d’élèves prometteurs, elle y a participé à quelques reprises, l’Alchimie et les Potions se rejoignant aisément. Elle donne aussi des cours privés ou magistraux de grec moderne, désirant garder sa langue vivante dans ce pays où elle ne parle plus qu’exclusivement l’anglais. Projets : Son projet ultime est de créer un remède qui éliminerait la soif de sang des vampires et pourrait éventuellement éliminer la nature vampirique qui l'habite (pour que seule la nature sorcière ne reste). Son objectif n’est pas la gloire, mais la liberté, un peu comme un médecin recherche inlassablement à traiter un cancer. Famille : Son père, Mephistos, est le roi des vampires grecs. Elle fait donc techniquement partie d’une famille royale. Sa mère, Vassilia Triandafylla, est une sorcière d’origine grecque également. Elle vit en Écosse et Evangelia en est très proche. Sinon, Evangelia est fille unique, mais a plusieurs demi-frères et demi-sœurs qu’elle ne veut plus croiser au même titre que son père.
Étymologie et références des prénoms: Mephistos - inspiré de Méphistophélès (Faust, Goethe) Vassilia - prononcé Vassilía, signifie royauté. Triandafylla - signifie roses (au pluriel, oui oui). On lit littéralement trianda (trente) fylla (feuilles). Evangelia - prononcé Evanguelía, plus communément traduit la bonne nouvelle, signifie littéralement Ev (bon/bonne) + anguelos (message/ange). Histoire Mephistos aimait particulièrement travailler dans son laboratoire durant la nuit tandis que les gens de sa maison, tous des vampires à quelques exceptions près, allaient chasser. L’Alchimie était pour lui non seulement une passion, mais une véritable religion qu’il étudiait avidement. Convaincu de la supériorité des vampires, il rêvait d’un monde dans lequel ils seraient non seulement majoritaires, mais maîtres. C’était la raison pour laquelle il travaillait d’arrache-pied à la réalisation de l’impossible peut-être : un virus. Le vampirisme se transmettait naturellement par les gènes et non pas par une simple morsure comme le prétendait les moldus. Leur nature était beaucoup plus complexe qu’un simple contact avec leur salive.
En étudiant ses nombreux livres d’alchimie, Mephistos avait cru découvrir la clef de son entreprise : le Mercure si convoité chez les alchimistes prenait ici la forme du sang de sa propre progéniture. Sa semence devait féconder non pas une vampiresse, comme il était coutume de le faire chez les vampires, mais une simple moldue. Mais pas n’importe laquelle : elle devait être jeune et vierge. C’était ce même principe alchimique qui revenait sans cesse, soit de ramener tout élément à son état le plus pur. Le réceptacle devait donc l’être pour que l’enfant à naître entre dans les critères de sélection. De plus, il fallait un des ingrédients les plus puissants : l’amour. Un amour véritable, innocent, pur. Peu importe le réceptable, Mephistos comptait le trouver et le posséder. Le fruit qui en résulterait serait unique, car les demi-vampires étaient très rares.
Mephistos avait une grande propriété en Grèce, son pays natal. Elle se trouvait sur le Mont Olympe et elle était difficilement accessible. La réputation de sa famille le précédait et il était rare qu’on ose s’y aventurer. Peu de gens vivaient dans les alentours, mais il y avait quelques chapelles orthodoxes éparpillées par-ci par-là. L’une d’entre elles, la chapelle de Saint-Dionysos à l’entrée d’une grotte, était à 900m d’altitude. L’alchimiste la connaissait bien car, contrairement à la pensée populaire, les vampires ne fuient pas les lieux de culte, mais se plaisent à les profaner. Il suivait depuis un moment une jeune femme dans la fleur de l’âge aussi gracieuse qu’une rose, les pommettes rougies par le froid de l’hiver. Mephistos se posta dans l’encadrement de la porte et observa sa prière avec beaucoup d’intérêt. Elle était seule et le coucher du soleil illuminait les vitraux qui reflétaient leurs couleurs sur la peau légèrement hâlée de l’inconnue. Le vampire se dit intérieurement : Voici l’Ange de l’Éternel.
La jeune femme s’agenouilla et soupira :
« Ô Pateras mou*! Écoutez ma prière, car vous m’avez délivré de la dette de mon péché par le sang précieux du Christ et je sais qu’à plus forte raison vous pourrez me délivrer de ce corps de mort! »
(*Ô mon Père)
Elle ne prononça pas d’autres mots à haute voix, mais Mephistos entendait ses murmures imperceptibles. Il attendit qu’elle eût terminée et que le soleil disparaisse enfin avant de s’approcher. Il ne voulait pas lui faire peur, alors il alla s’agenouiller à une distance raisonnable de sa proie, feignant prier non pas dans les rangées de bancs, mais au pied de la croix. La femme le regarda un moment avant de se désintéresser de sa personne. Elle fit mine de partir, mais Mephistos n’allait certainement pas louper cette occasion en or :
« Excusez-moi, mademoiselle, puis-je vous être utile? Je suis le prêtre Kokkinos*. Il est bien imprudent d’être seule sur la montagne à cette heure-ci et en cette saison de l’année… »
(*Rouge)
« Enchantée, père Kokkinos. Je me nomme Vassilia Triandafylla. Je suis ici, car j’avais besoin de solitude… Mais vous pourriez peut-être m’aider, oui. Je… je crois être maudite. Des choses étranges se passent lorsque je suis dans les parages. »
Mephistos ne s’attendait certainement pas à une telle affirmation. Cela piqua sa curiosité, bien évidemment :
« Que voulez-vous dire? »
« Dès qu’un homme s’approche de moi, dès qu’il manifeste de l’intérêt envers ma personne, la maladie et la mort s’ensuivent. Vous êtes un homme de Dieu, la malédiction ne devrait pas vous atteindre, mais je crains qu'elle me poursuive sans cesse. Que faire? »
« Vous devez être purifiée par le Saint-Esprit. Mais pour se faire, il faut que je vous impose les mains. »
Il déposa ses mains sur chacune de ses épaules et pria que l’Esprit de vie la protège et la sanctifie.
Ce fut le début d’une histoire d’amour bien trompeuse. Vassilia ne savait pas qu’elle était une sorcière, orpheline qu’elle était. Les manifestations vraisemblablement surnaturelles qui l’entouraient se dissipèrent peu à peu, laissant place à une paix apparente. La magie qui l’habitait était reliée à ses émotions, et l’attirance qu’elle ressentait pour Mephistos et l’amour qui grandit dans son cœur lui permis de la canaliser, voire de l’enterrer un moment, à son insu. Le charmant vampire se présenta comme veuf, les prêtres orthodoxes devant se marier pour exercer leur ministère, ce qui ne fit qu’amplifier l’empathie de celle qui allait devenir sa fiancée. Il n’était pas difficile de lui cacher l’existence de sa propriété, prenant soin de laisser son majordome et ses serviteurs se charger de l’administration de son logis et de ses affaires. Il vécut avec sa femme dans une autre maison plus modeste qu’il avait aussi hérité et il était facile de visiter son domaine originel en camouflant ses déplacements par le biais, par exemple, de supposées visites dans les monastères de la région. Vassilia tomba éventuellement enceinte et annonça la bonne nouvelle à son mari qui fut inévitablement aux anges. Mais les choses allaient bientôt se corser…
Aussi fin manipulateur put-il être, Mephistos n’avait pas tout prévu, loin de là. À peine sa grossesse enclenchée, la nature magique de Vassilia ne put être contenue plus longtemps, apparemment provoquée par les hormones de grossesse, à un point tel où ses manifestations mettaient en danger le secret bien gardé de l’existence des sorciers. Le ministère de la magie grec intervint et elle fut convoquée au tribunal, complètement déboussolée par les événements. Mephistos s’y opposa violemment, mais les sorciers surent le maîtriser. C’est à travers cette mésaventure qu’elle apprit que son époux était non seulement un vampire, mais le riche héritier d’une longue lignée royale de vampires grecs reconnue pour avoir semer la terreur de génération en génération. Elle confronta son mari en privé, sous la protection de la brigade magique. Il eut beau tenter d’inventer quelque chose comme il savait si habilement le faire, la vérité ne lui échappa pas cette fois. Il avait fait une erreur de taille : il avait regardé avec avidité son ventre avant de lui répondre. Elle savait désormais que son bébé était en danger pour des raisons qui lui étaient toutefois obscures. Mais les raisons n’avaient pas d’importance : elle devait fuir. Fuir le pays une fois pour toute.
Vassilia trouva refuge en Écosse dans un centre de réhabilitation pour sorciers dans lequel elle eut accès à des cours de magie et de langue anglaise subventionnés par le Ministère du Royaume-Uni. Elle sut s’extirper de l’emprise de son ex-mari pour un temps, mais il ne comptait pas laisser sa Clef lui glisser entre les doigts aussi facilement. Non seulement n’avait-il pas réussi à procréer avec une autre femme humaine, mais le facteur crucial de l’amour n’avait pas été au rendez-vous. Du moins, jamais comme il l’avait été avec sa Rose. Il n’était pas complètement insensible, il faut le préciser : il ne lui souhaitait aucun mal et ne comptait pas lui enlever la vie, mais il ne pouvait se permettre d’honorer ses vœux de mariage, car le mariage et les sentiments qu’il engendrait étaient un obstacle à son but ultime. Son véritable Amour serait toujours l’Alchimie et ses mystères, mais il avait dû lui être temporairement infidèle afin de mieux la servir. Il croyait fermement que l’enfant serait l’offrande nécessaire à son rachat et au salut du monde entier.
Vassilia vécut donc paisiblement dans son pays d’adoption, s’adaptant à son environnement et maîtrisant toujours mieux cette langue étrangère. Elle se remaria à un sorcier, mais se retrouva stérile suite à la naissance de sa fille. Elle nomma celle-ci Evangelia symboliquement puisqu’elle espérait qu’elle soit porteuse d’un message d’espoir dans un monde engloutit par les ténèbres. C’est cet amour, ce lien littéralement magique, qui allait transporter Evangelia toute sa vie sans même qu’elle s’en rende compte.
La petite avait à peine deux ans lorsqu’elle fut arrachée à sa mère dans la nuit. Mephistos avait engagé un sorcier mercenaire qui savait transplaner, tout simplement. Il n’avait pas été difficile de retracer la grecque à travers ses collaborateurs anglais. Mephistos avait des yeux partout. Ou presque.
Evangelia grandit donc en Grèce dans le prestigieux domaine de son père. Sa vie fut un tissu de mensonges et elle crut pendant longtemps que sa mère était décédée. Mephistos prenait soin d’elle comme la pupille de son œil. Elle était toujours richement vêtue, digne de tous les honneurs et d’une éducation sans pareil. Son père avait pris bien soin de faire des réserves du sang de sa fille afin qu’elle ne soupçonne rien une fois assez âgée pour poser des questions. Il effectuait souvent des tests sur ses rats de laboratoire en mélangeant le sang précieux à différentes substances diluées, distillées, évaporées… Il se démenait inlassablement, au point d’en devenir presque fou, s’il ne l’était pas déjà. Il avait partagé à sa fille le secret de ses expérimentations : trouver un remède qui permettrait aux vampires de ne plus se nourrir de sang. Evangelia l’avait cru sur parole, désirant se rendre utile à cette noble cause et rêvant de devenir alchimiste comme son père. Elle s’imaginait être un jour son bras-droit dans cette entreprise familiale qu’était la pharmaceutique magique. Mephistos vendait effectivement ses médicaments, pillules, parfums et autres concoctions à la communauté magique, c’était l’expertise familiale transmise de père en fils et la source de leur fortune, mais il avait aussi d’autres ambitions beaucoup plus audacieuses.
Un jour, Mephistos injecta une de ses préparations dans le flan d’un de ses rats. C’était un mélange d’ammoniac de sel (de l’urine de moldu distillée), de salive de chauve-souris, d’un croc de basilique en poudre et, bien sûr, le sang de sa fille dilué dans l’alcool. Les yeux du rongeur prirent une couleur écarlate en si peu de temps que Mephistos n’eut pas le temps de fermer la cage que, déjà, il s’était précipité pour le mordre. L’alchimiste se pressa à empêcher l’animal de sortir et, ignorant sa blessure bénigne, observa les effets de son mélange. Sans plus tarder, l’animal se jeta sur son frère sans défense, lui brisa la nuque et se nourrit voracement de son sang. Le vampire sourit de toutes ses dents, la pointe de ses canines immaculées bien visibles, plus visibles qu’à l’habitude.
Sa joie ne dura qu’un bref moment, car les effets de la salive du rat en contact avec sa plaie le terrassèrent et il ressentit une soif plus puissante que toutes celles qu’il avait eue auparavant. La couleur rougeâtre de ses vaisseaux sanguins contrastait avec la blancheur de ses globes oculaires et lui donnait une allure de bête enragée. C’était comme si un soleil brûlant l’écrasait en plein désert et asséchait tout son corps jusqu’à en faire fondre sa langue et la transformer en poussière. Il n’avait jamais ressenti le poids de la mort comme il la ressentait aujourd’hui. La panique s’éprit de son âme et il se précipita sur sa réserve, avalant toutes les pochettes de sang qu’il pouvait trouver tel un animal sauvage. Et même après cela, ce ne fut pas assez. Il eut à peine le temps de regretter le gaspillage des réserves de sang de sa chère Evangelia que celle-ci entra subitement dans son laboratoire, chose qui lui était interdit sans la permission de son père. Elle fut surprise et horrifiée à la vue du monstre qu’il était devenu et articula difficilement ces mots, les larmes lui montant de la gorge jusqu’aux yeux :
« Du feu! Papa, il faut évacuer les lieux! »
Elle n’osa pas l’approcher et remonta les escaliers à toute vitesse. Elle l’entendit derrière elle, mais n’osa pas se retourner. Il ne semblait pas l’avoir compris; il semblait ne vouloir qu’une chose : la dévorer. À travers toute la commotion, elle vit une femme mature qu'elle ne connaissait pas s’avancer vers elle et la tirer par le bras. La femme lui dit :
« Je suis là pour te libérer! »
Incrédule, Evangelia la repoussa. La femme lui dit :
« Evangelia, je suis ta mère! »
Et ce fut le jour où le monde d’Evangelia s’écroula afin qu’elle puisse fleurir sainement, elle qui sortait à peine des jours insouciants de l’adolescence. Rencontrer sa mère (ou la retrouver) mit tout en lumière et elle sut que son père qu’elle aimait tant n’était rien d’autre qu’un traître. C’est jusqu’à ce jour une déchirure qu’elle doit traîner comme un lourd bagage.
Afin de protéger sa fille de la traque infernale de Mephistos à son égard, Vassilia demanda exceptionnellement la protection particulière d'Albus Dumbledore avec qui elle avait collaboré dans le passé. Il accepta la requête exceptionnelle de son amie qui lui assura qu'Evangelia pourrait offrir son savoir étendu de l’Alchimie aux élèves. La jeune femme parlait déjà bien l'anglais, s'étant toujours intéressée aux langues et ayant eu des précepteurs de qualité. De plus, elle avait eut le temps de faire ses études supérieures et se révéla qualifiée après certaines mises à niveau. Dumbledore avait effectivement besoin d'un professeur d'Alchimie et accueilla généreusement la sang-mêlée. Le château est un des seuls endroits où elle est véritablement en sécurité puisqu’il est protégé par des systèmes de sécurité magique de haut niveau. Dumbledore aida aussi Vassilia et son mari à trouver un logis sûr non loin de l'école.
Evangelia s’est depuis promise que son père n’arriverait pas à ses fins sans qu’elle ne l’arrête, d’une part avec ses propres armes de prédilection (l’alchimie mêlée à ses capacités magiques), et d’une autre part avec un principe encore plus puissant et plus que nécessaire : la Justice vers laquelle pointe l’axe-même de l’univers. Evangelia serait prête à se sacrifier s’il le faut et considère ses élèves comme ses propres enfants et Poudlard comme sa nouvelle maison et sa nouvelle famille.
Dernière édition par Evangelia Triandafylla le Ven 14 Sep - 21:24, édité 4 fois | | Bon ben puisque je t'ai croisée en CB, je peux m'épargner les bienvenues et autres banalités, c'est pratique *PAF*
Alors tout ceci me paraît tout à fait très pas mal du tout (et bien écrit, par dessus le marché, ce qui est toujours appréciable), mais avant que je ne te valide, il y a juste deux points que j'aimerais préciser !
Le premier, c'est un petit détail, mais tu écris "PROJETS : Son projet ultime est de créer un remède au vampirisme (qu’elle désire utiliser sur elle-même) et éventuellement à la lycanthropie" ; le vampirisme, contrairement à la lycanthropie, n'est pas une maladie qui affecterait les humains : c'est un état naturel, au même titre que celui de ficus, de sconse, de gobelin ou d'hippopotame, donc on ne peut pas en "guérir". Par contre, elle Ev' peut tout à fait chercher à découvrir ou inventer un aliment qui servirait de palliatif au besoin de sang de son espèce.
En second, quand tu écris "afin de se protéger de la traque infernale de Mephistos à son égard, Evangelia demanda exceptionnellement la protection particulière du Ministère de la magie qui la référa au directeur de Poudlard", je me demandais (après, c'est peut-être moi qui ai lu la fiche trop vite) si, finalement, le ministère de la Magie britannique et Dumbledore savaient qu'Ev' est une vampire (ou demi) ?
Voilà, c'est tout, sinon, c'est vraiment bien, j'aime beaucoup ce perso :<3: | | 1) Ok, je vais rectifier ce qu'il en est pour son projet. En fait, elle aimerait bien détruire la nature vampirique qui l'habite (se purifier de cette nature) pour que seule la nature sorcière de sa mère ne reste. Mais pour ce qui est des vampires, il serait sûrement plus réaliste de chercher plutôt à éliminer leur soif de sang. 2) Donc, oui, dans le contexte Dumbledore serait au courant de ses origines et ferait une exception à son égard puisqu'elle est sous protection ministérielle. Merci beaucoup pour tout! | | 2) D'accord, mais du coup (navré, hein, je suis peut-être bouché), le ministère ne le sait pas, lui ?
| | Oui oui, le ministère est au courant, c'est la raison pour laquelle elle et sa mère sont protégées, car il connaît leur histoire et le danger que représente Mephistos. En gros, Evangelia est protégée par le système de justice magique puisqu'elle est réfugiée en Écosse. Le ministère a prit des mesures particulières puisque sa vie et celle de sa mère sont potentiellement en danger.
Edit: Voilà ma modification : Afin de protéger sa fille de la traque infernale de Mephistos à son égard, Vassilia demanda exceptionnellement la protection particulière d'Albus Dumbledore avec qui elle avait collaboré dans le passé. Il accepta la requête exceptionnelle de son amie qui lui assura qu'Evangelia pourrait offrir son savoir étendu de l’Alchimie aux élèves. La jeune femme parlait déjà bien l'anglais, s'étant toujours intéressée aux langues et ayant eu des précepteurs de qualité. De plus, elle avait eut le temps de faire ses études supérieures et se révéla qualifiée après certaines mises à niveau. Dumbledore avait effectivement besoin d'un professeur d'Alchimie et accueilla généreusement la sang-mêlée. Le château est un des seuls endroits où elle est véritablement en sécurité puisqu’il est protégé par des systèmes de sécurité magique de haut niveau. Dumbledore aida aussi Vassilia et son mari à trouver un logis sûr non loin de l'école. | | Félicitation On t'aime déjà tu sais? Bon, voilà, désolé, je sais que je suis chiant, mais maintenant que les modifs sont faires, je peux te valider le coeur léger ! Et au passage, je demande une ovation pour notre premier suceur de sang du forum ~ Comme je l'ai déjà dit, une superbe fiche, originale, riche, bien écrite, bref, du tout bon ! Il ne te reste plus qu'à aller jouer ta petite Ev' luttant contre ses démons hémoglobineux ! Allez, file RP P.S. : tu ne serais pas fan de Grèce, par hasard ? Juste une impression *PAF* ___________________________
Les portes du forum te sont désormais grandes ouvertes ! On t'invite à poster ta fiche de relations et la compléter juste ici ainsi que ton hiboux . Ne sois pas timide et demande des liens avec d'autres personnages ! Si tu cherches un partenaire pour RP pourquoi ne pas répondre à l'une des demandes ou poster la tienne dans les recherches juste là? Et avant de fuir, n'oublie pas de remplir ton profil, ainsi que recenser ton avatar. ( Si tu es élève, il faut également faire un petit tour sur le sujet des cours) A trés vite en rp et on espère que tu te plairas parmis nous! | | Merci beaucoup! Et ne t'nquiète pas, je comprend le soucis de cohérence, c'est tout à fait normal. Sinon, oui, j'ai un amour particulier pour les grecs. Je suis allé deux fois en Grèce avec mon mari pour rencontrer ma belle-famille et découvrir son pays d'origine qui lui manque beaucoup, mais qu'il a dû quitter suite à la crise économique qui a appauvrie sa famille qui l'était déjà. En apprenant la langue, je ressens une connexion encore plus forte avec ce peuple. J'aime découvrir des cultures et des langues différentes. C'est ma grande passion. Mon personnage aurait put être espagnol ou italien puisque je me débrouille bien dans ces langues aussi. Mais j'ai une connaissance plus large de la mentalité grecque (ex: ils sont majoritairement religieux) et la Grèce a une place particulière dans mon coeur puisque je n'ai pas de famille dans mon Québec natal. | | | |
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